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dimanche 13 mai 2007

Freedom, here I come, back

Tel un missionaire je me suis donné pour objectif de porter la bonne parole de mes convictions, me faisant un devoir d' encourager au vote en faveur de royal.
Ne toucher qu' une ou deux personnes aurait déjà pour moi étè une victoire. une centaine ou plus de pages ont étè vues  entre le 1 mai et  l' election, principalement entre le 1 et le 4 Mai.
Je suis prècis par ce que j' en suis suis fier.

Je me sens l' esclave de ma peur, peur de ne pas 'intéresser'. 
Peur de ne pas 'plaire', pas etre lu.
Peur de faire un pas vers l' autre e tqu il n' y ait personne.

L' anticipation du jugement qui peut etre fait de mes articles 
impose des limites, comme un cadre contraignant l' évolution de mon blog.
Cet état de fait devient irrationnel. 
Une form de de paranoia émerge dans mon esprit;
 et si tel ou tel me regardait, me lisait, ...
Je me sens virtuellement obligé de tenir un discours convenu.

Ce soir je m' affranchis.
Je me donne ce soir à nouveau le droit de faire des erreurs, des excès,
c' est à dire faire ce qu il faut pour aller de l' avant.

J ai fait ce que j ai pu, ce que j ai su. Maintenant il est inutil de prétendre que je suis parfait, que je ne peux avoir tort.
La statut de glace fond. Vous voyez ?

Je ne me subordonnerais plus à la symphatie des intervenants ou à une logique d' appartenance politique.....

 
Je m' expose, sans en avoir l air.

Je vais peyt etre m' attirer les foudres de gens bien pensants,
mais à ceux là, je demanderais de penser à deux fois, ou encore de bien penser ailleurs..

J' ai invité dans cet espace, j ai percu beaucoup de négativité...
Peut etre est il de ma part aussi agressif d' exprimer des idées.
Etant entendu que tout est relatif,je tiens à dire que l' on ne réunit les critères de "con", 
que rarement de manière innée, selon moi.

Je n' ai malheureusement  pas le temps de traiter toute la misère du monde, tout en m' en sentant 'obligé'.
 
J' éspère quand meme avoir apporté un semblant d' ouverture 
pour certains
)
 
J' en ai bien assez pour l' instant, avec mes propres difficultés.

L 'entrée n' est plus libre;
C' est desormais chez moi que le cyberbadaud arrive (ou pas), 
à ses propres 'risques et périls'.

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