Densité de population france: 112,2 hab./km² (densité métropolitaine)
Densité de population états-unis: 31,15 hab./km²
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(Ricardo) Une vision pessimiste de l'avenir ?
La richesse se répartit entre trois composantes que sont les salaires, les profits, et la rente. Pour Ricardo, l’évolution de la population mène inévitablement à la hausse du prix des subsistances (du fait des rendements décroissants de la terre) et à celle de la rente foncière
(suite au besoin accru de terres cultivables).
Le résultat de cette inflation, que subissent des travailleurs déjà dans la misère, est de rendre nécessaire une hausse des salaires afin d’assurer la survie de ces derniers. Ainsi la croissance démographique provoquera nécessairement un écrasement des profits par la rente, et par conséquent la fin de l’investissement productif.
Ricardo rejoint donc le point de vue de Thomas Malthus et critique les aides sociales accordées aux indigents qui créent la pauvreté sur le long terme en favorisant des naissances non souhaitables.
Didonc j' avais pas lu ca fait mal. Ce n 'est pas mon point de vue. LA productivité a bien augementé depuis le temps de Ricardo, ou Malthus.
Ce qui n' a pas changé est le caractère limité des ressources et du territoire.
Les gens dans la pauvreté, comme en Afrique ont pour seule richesse leur aptitude à procréer, et pour seule source de revenu au sein d' une meme famille, le nombre.
Vaut il mieux valoriser le nombre exsitant, et le raisonné à venir, ou encourager la multiplication afin de développer le revenu ?
Je ne possède rien, je suis pour la première idée.
Patron de 'Lu', ou peu importe, je serais pour la seconde solution, qui n' en est pas une.
C' est là que se fonde ma sensibilité de gauche.
Seule la volonté politique peut permettre la redistribution des richesses.
Elles existent et sont inégalement réparties et inutilement, excessivement accumulées.
Leur artificielle re-répartition demande des efforts sont sources de désèquilibres et de malheurs.
Pollution, guerres, dépressions, maladies...
On parle de libre entreprise, mais pour la sus-citée fin, l' individu est encouragé, aussi pret a tout, du moins qui n' est pas interdit.
MAis avec quelles tristes conséquences, que le prix à payer est lourd pour s' enrichir.
A quand la solution, à quand la volonté, à qui le pouvoir, à qui la force ?
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